Paroles

Toi qui es né au pays loin là-bas
Tu n'imaginais pas d'endroit comme ça
Où tout s'illumine et tout vole en éclat
Toi qui es né au pays loin là-bas

Moi qui t'accompagne et qui sais qu'ici
A bien y regarder c'est le paradis
Pour un instant ou pour toute la vie
Moi qui t'accompagne et qui sais qu'ici

Che cosa fai
Ma che faccio
Che cosa faciamo
Sono tu, ti amo…

Toi qui sais ce qu'est naître loin là-bas
Tu n'imaginais pas d’instant comme ça
Où avoir envie et encore être en vie
Toi qui sais ce qu'est naître loin là-bas

Imaginons-nous tous un instant comme ça
Où tout s'illumine et tout vole en éclat
Démolis et avoir encore envie
Imaginons-nous tous un instant comme ça

Vous pouvez me croire
Vous qui m’écoutez
Qu’on ne peut savoir
Tout ce qu’on nous fait

A dix ans voilà
Ce qui s’est passé
J’ai compris pourquoi
Les autres se moquaient

Quand on naît sourd
C’est lourd à porter
De garder un jour
Un amour en secret

Je n’entendais pas
Tous les bruits autour
J’ai su que pour moi
C’était pour toujours

Lui ne voyait pas
Quand mes yeux lui parlaient
Moi je ne savais pas
Comment lui expliquer

Que quand on naît sourd
C’est lourd à porter
De garder toujours
Un amour en secret

Il n’imaginait pas
Les sons que j’inventais
Il ne le disait pas
Mais je le devinais

J’errais sur un chemin
Entre stupidités
Alors avec mes mains
Je viens vous le chanter

Quand on naît sourd
C’est lourd à porter
De gar… … …
Un amour en secret

On danse ensemble les yeux dans les yeux
Le soir on s’endort corps à corps d’accord
On fait ce que l'on peut pour être heureux
Main dans la main on regrette les torts

Mais quand les gris nuages arrivent
Qu’on ne sait ni comment ni pourquoi
Laisse-moi seulement te dire
Que je veux trouver avec toi
Un matin pour nous sourire
Une religion sans loi
Un matin pour pouvoir se dire
Avoir effacé tous les combats

Les lèvres sur les lèvres le cœur sur le cœur
Nous donnons tout de nous et bien plus encore
Nous qui nous rappelons même le bonheur
Laissé trop loin de nous d'un commun accord

Florence est une fille
Sur qui tu peux compter
Elle était notre amie
Tu l’as laissée tomber

Florence est repartie
Le cœur massacré
Là-bas en Italie
Parmi les étrangers

Florence est une ville
Où il fait bon te conter
Toi qui n’as plus envie
Qui laisses tout tomber

Que Florence est si jolie
Quand le cœur dans les souliers
Elle grimpe à l’infini
Ces étranges escaliers

Si l’on pouvait effacer
Ces bruits qui nous dérangent
Je serais le premier
A le tenter mon ange

Je t’ai vu partager
Sur les portées de ton âme
Des images, des idées,
Des silences que l’on condamne

Mais personne
N’écoute plus personne
Non personne
N’entend plus personne

Je t’ai vu effacer
Ces bruits qui nous dérangent
Tu n’es pas le premier
A te damner mon ange

Si l’on pouvait partager
Sur les portées de nos âmes
Une image, une idée,
Un silence que l’on condamne

Mais personne
N’écoute plus personne
Non personne
N’entend plus personne

Comme un couteau dans la plaie
Que l’on retourne cent fois
Une enfant qui s’émerveille
Dans un monde en désarroi

Là-bas sous les réverbères
Je vais t’emmener danser
Et de cent milles manières
Nous pourrons enfin nous aimer

Parmi les roses et les soleils
Que l’on retrouve parfois
Quand rires et larmes sont pareils
Quand ici c’est chacun pour soi

Oserons-nous nous décider
Entre l’amour et faire la guerre
Et là-bas sous les réverbères
Enfin se laisser valser

Y a comme un goût amer
Au fond de mon verre
Comme une étrange idée
De la réalité
Ne dit-on que toujours
Rime avec amour ?
Moi qui ai essayé
Je peux vous assurer

Elle pensait à lui si souvent
Que pour elle, elle n’avait plus le temps
Elle rêvait d’un prince charmant
Mais c’est un vagabond qui chante maintenant

Y a comme un goût amer
Au fond de mon verre
Comme une étrange idée
De la réalité
Ne dit-on que toujours
Rime avec amour ?
Moi qui ai essayé
Je peux vous l’assurer

Maintenant je vais vous expliquer
Comment finit ce conte de fée
Elle l’a convaincu lui qui n’avait plus d’espoir
De venir vous chanter ce soir

Qu’y a comme un goût amer
Au fond de son verre
Comme une étrange idée
De la réalité
Ne dit-on que toujours
Rime avec amour ?
Lui qui a essayé
Je peux vous assurer

Qu’y a comme un goût amer
Dans cet univers
Comme une étrange idée
Dans la voie lactée

Inflexible élastique
Car jamais je n’écraserai
Comme un vulgaire moustique
L’enfant que j’étais

Je voulais juste te dire
Que je ne trouve pas souvent
Les images qui font rire
Et les mots qu’il faut mettre devant

Mais là au milieu de mon cœur
Aux limites de mes joies
Il me reste le bonheur
De te savoir près de moi

Le matin de notre promesse
Tu souriais, déjà tu savais
Qu’un jour sans trop de caresses
Nos routes se sépareraient

Je voulais juste te dire
Que je ne trouve pas souvent
Les images qui font rire
Et les mots qu’il faut mettre devant

Mais là au milieu de ton cœur
Aux limites de mes joies
Il me reste le bonheur
De te savoir près de moi

Là au milieu de mon cœur

Je suis sa marraine
Avec tous mes problèmes
Une maman qui m’aime
Mais qu’on pense schizophrène

Je n’ai pas d’argent
J’aimerais la voir plus souvent
Moi qui n’ai que zéro
À lui offrir en cadeau

Oh Lola qu’aura
Va savoir
Ce qu’aura Lola
Mais qu’aura Lola
C’est de l’or
Que Lola n’aura pas

Je fais ce que je peux
Dans un monde vaniteux
Et je crie à tue-tête
Pour épargner sa planète

Moi qui suis née ici
Quand l’eau était encore là
Voilà qu’aujourd’hui
Je dois sauver ma Lola

Mais qu’aura Lola
C’est de l’or
Que Lola n’aura pas
Oh Lola qu’aura
Va savoir
Ce qu’aura Lola

Peut-être bien que
Si tous les curés
Dansaient le reggae
Il est possible que
Les enfants sans danger
En promenade iraient

Et si tous les Imams
Et toutes leurs beautés
Osaient se dévoiler
Dans les yeux d’Ilam
Enfin la vérité
Danserait le reggae

Alors danse danse le reggae
Danse et cours à la récré
Danser danser le reggae
Et à tous leur montrer

Que si ces pauvres Job
Et leurs amis Jacob
Le reggae écoutaient
Il ne nous manquerait que
Quelqu’accords à trouver
Pour nous les emmener danser

Refrain

Qu’il ne nous manque que
Quelques paroles de
Ce satané reggae
Pour enfin arriver
A les faire danser
Avec nous le reggae

Je ne savais plus que faire
Pour la rassurer
Je n’avais qu’à me taire
Et à l’embrasser

Elle m’a dit qu’entre nous
Fallait pas chercher
Que le monde elle s’en fout
Que c’est à nous de trouver

Le temps de nous aimer
Yéyé

Je ne sais plus que dire
Pour vous amuser
Je n’ai que le délire
De vous enlacer

Cela dit entre nous
Y faut pas chercher
Dans ce monde de fou
Espérer trouver

Le temps de nous aimer
Yéyé

Mais oserais-je prétendre 
A bien vous observer
A vous voir tous ensemble
Avoir enfin trouvé 

Dans un monde où partout
C’est la fin de l’été
Le rêve un peu fou
Le temps de nous aimer

Le temps de nous aimer
Yéyé

Elle est née en Suisse
Antédiluvienne
Sous influence
Tibétaine

En un instant
J’étais sous le charme
Dans les rues
D’Amsterdam

Où est, où est Lucy

Quand elle m’a emmené
À Liverpool
Dans son grand studio
Je planais cool

Puis elle est partie
En Californie
Retrouver Mickey
Et compagnies

Il faut que je la revoie
Au plus vite, j'ai besoin de ça
C’est fantastique quand on y va
Il faut que vite je la revoie

Où est, où est Lucy

Elle est le soleil
De mes hivers
La rosée
Dans le désert

Elle m’a dit qu’entre nous
Tout reste possible
Mais je sais c'est une
Enfant Terrible

Où est, où est Lucy

Mais il faut que je la revoie
Au plus vite, j’ai besoin de ça
C’est fantastique quand on y va
Il faut que vite je la revoie

Une image de toi
Une image de moi
Une image de toi et moi
Qui resterait là

Mais une image de nous
Quand du reste on s’en fout
Une image de nous

Une image de nous
Que l’on garderait en nous
Comme une image de fou

Une image de toi
Une image de moi
Une image de toi et moi
Qui resterai là

Mais une image de nous
Disparue je ne sais où
Une image de fou

Une image de fou
Que l’on garderait en nous
Comme une image de nous

Une image de toi
Une image de moi
Une image de moi et toi
Qui resterais là

Même une blanche mosquée
Un drapeau plein d’étoiles
Ne peut me faire oublier
La race et le scandale

Pour qui se prend-t-il ce dieu
S’il pense que pour moi
Dans le noir de tes yeux
L’amour n’existe pas

Ma couleur préférée
C’est la couleur de ta peau
D’un ciel bleu balancé
Dans le rouge du tempo
Et sur mon âme pastel
Viens écarter grand tes ailes

Ils rient jaune les beaux pères
Quand de trop rares bons à rien
Ne partent plus à la guerre
Mais parlent de doux câlins

Toutes ces blanches mosquées
Tous ces drapeaux ces étoiles
Ne peuvent te faire oublier
Les races et leurs scandales

Ma couleur préférée
C’est la couleur de ta peau
D’un ciel bleu balancé
Vers le rouge du tempo
Et sur mon âme pastel
Allez viens écarter grand tes ailes

Toi petite hirondelle
Tu m’as envoûté
Tu dansais naturelle
Comme aucune jamais

A quinze ans sur tes ailes
Je ne peux l’oublier
Toi petite hirondelle
Tu m’as emmené

Impatiente, insatiable,
Tu ne me laisses aucun répit
C’est sur un siège éjectable
Qu’aujourd’hui je suis assis

Moi qui me suis perdu
Entre maintes dentelles
A quinze ans je n’ai pu
Te chanter la plus belle

Mais tu m’es revenue
Dansent les caravelles
A moi l’ange déchu
Toi petite hirondelle

Impatiente, insatiable,
Tu ne me laisses aucun répit
C’est sur un siège éjectable
Qu’aujourd’hui je suis assis

Ma petite hirondelle
Tu ne peux oublier
Qu’a quinze ans sur tes ailes
Tu m’as emmené

Des corbeaux croassent au-dessus de nos têtes
Tu me serres la main
Ils finiront bien par se taire
J’espère avant demain

Des colombes s’envolent au-delà de nos rêves
C’est déjà demain
Il est urgent de se taire
De se donner la main

Il y a mille hélicoptères
Une croix rouge ou noire
Entre ciel et terre
La peur et les espoirs

Des colombes s’envolent au-delà de nos rêves
C’est déjà demain
Alors encore avant de me taire
Serre-moi la main

Il y a mille hélicoptères
Une croix rouge ou noire
Entre ciel et terre
La peur et les espoirs

Vois-tu mille hélicoptères
Une croix rouge ou noire
Entre ciel et terre
La peur et les espoirs

Avec mes mauvaises manières
Mes relents d’avant et d’hier
Mes faux pas mes malentendus
Mes accents d’un Nord perdu

Je ne suis qu’un mangeur de frites
Bébé je ne suis pas la politique
Toi tu viens d’une île lointaine
Te frôler au bas de mon aine

Moi vouloir danser avec toi la lambada
Moi aimer ça quand toi me dis tout bas

Sarko peut bien épouser Carla
Mais Sarko tout ne peut pas
Mieux vaut bouger son cul dans un coin
Que de jouer au plus malin

Moi vouloir danser avec toi la lambada
Moi aimer ça quand toi me dis tout bas

Je ne cherche pas d’excuse
Peut-être bien que cela m’amuse
Tous ces regards récalcitrants
Que tu lances tout le temps

Moi vouloir danser avec toi la lambada
Moi aimer ça quand toi me dis tout bas

Elles s'ouvrent à toutes les saisons
Parfois pour un petit rien
Elles mélangent les passions
Et du jour au lendemain

Diluées au fond du verre
Ou d’une autre solution
Métallique et passagère
Nous donnent vingt mille raisons

Ces indicibles cyclones
C'est au plus haut de leurs bas
Que d'invisibles amazones
Ce soir amènent mes doigts

Ils s'ouvrent à toutes les passions
Souvent plus que de besoin
Ils mélangent les saisons
En de vagues va-et-vient

Ces indicibles cyclones
C'est au plus haut de leurs bas
Que d'invisibles amazones
Toujours amènent mes doigts

Ces indicibles cyclones
C'est au plus haut de leurs bas
Que d'invisibles amazones
Ce soir me mènent vers toi

On m'appelle François-Guillaume
Tu sé bé nos otes
Que l'on soit du sud de la Gaume
On est toujours du Nord

Tu m'as dit mais comment faire
Onze wereld mooi te doen
Pour changer d'atmosphère
En het weer altijd groen

Mais y faut pas, ‘t hoef niet
Loretta Van de Vliet
Croire que je ne vois pas
Ton petit cinéma
Y faut pas, Loretta
U moet niet, Van de Vliet
Croire que dans mon état
Je vais suivre ta loi

Je devoir appris à l'école
Toutes les frontières de nos idoles
Schon stehts Du auf die grosse Bühne
Ich meine Sterne dans les dunes

Toi dans ta Jeep japonaise
Pour un chômeur à Tielt
En als een Zaterdag gaat weg
Tu m'as abandonné Mathilde

Mais y faut pas, U moet niet
Loretta Van de Vliet
Croire que je ne vois pas
Ton petit cinéma
Faut pas, Loretta
‘t hoef niet, Van de Vliet
Croire que dans mon état
Je vais suivre ta loi

Kom thuis Loretta
Van de Vliet
Ik hou van jou

Ohé Ohé Ohé

Pourquoi faisons-nous des guitares
Pourquoi formons-nous des armées
Sommes nous là dû au simple hasard
A nous jouer de ce conte de fée

Ohé Ohé Ohé

Comme un enfant quand il pleure à genoux
Je te demande toi qui sais presque tout
Quand c'est la faim qui vide son regard
Pourquoi faisons-nous des guitares

Pourquoi faisons-nous des guitares

Comme une vierge qui implore la croix
Un comédien qui oublie son histoire
Je veux trouver le comment du pourquoi
Et les raisons qui font ces guitares

Ohé Ohé Ohé

Pourquoi ces armées entre nous
Est-ce le gain d'une banque au hasard
Qui fait que dans ce monde de fou
On ne fait rien que de faire des guitares

Pourquoi faisons-nous des guitares

Tu aimes la musique de demain
Tu joues en politique c'est très bien
Tu construis des usines je ne fous rien
Juste un peu de rythmique avec les mains

Traite moi de branleur si tu veux
Mais surtout pas d'emmerdeur nom de Dieu

Je n’ fais pas la lessive j'économise
Bébé je n’ porte ni cravate ni chemise
Je ne fais que t'attendre toi tu ironises
Alors si vraiment tu le penses fais à ta guise

Traite moi de branleur si tu veux
Mais surtout pas d'emmerdeur nom de Dieu

On n’a qu'une seule vie pour être bien
Qu’un peu de nostalgie et puis plus rien
Mais si t’en as envie, si tu y tiens
Laisse moi la lie, prends le bon vin

Traite moi de branleur si tu veux
Mais surtout pas d'emmerdeur nom de Dieu

Mes devoirs mes diplômes
Si je devais faire la somme
De quelques notes sur un piano
Il ne reste que des héros

Leurs conquêtes nos contrats
Il n’y a vraiment pas de quoi
Bénéfice ou sacrifice
J’ai répandu tout sur la piste

Mes amours mon amitié
Vous pouvez les accaparer
Mais laissez-moi Maria
Ma guitare et mon chocolat

Sur la route pas de doute
A tant freiner coûte que coûte
Pour une biche quelques bagnoles
J’ai effacé toute la gomme

Pauvres galères mornes naufrages
De mauvais trips en bons voyages
Si vous pensez que je délire
Belles, je dois encore vous le rire

Mes amours mon amitié
Vous pouvez les accaparer
Mais laissez-moi Maria
Ma guitare et mon chocolat

Tout est parti sur ce piano
Tout juste mal accordé
Vous avez cru tous mes défauts
Moi soupçonné vos qualités

De galaxies en supernovas
J’ai traversé cent vingt trous noirs
Pour vous revoir chère Maria
Et vous chanter mon désespoir

Plus vite
Tu vas toujours plus vite
Tu veux tout de suite
Plus vite
Tu vas encore plus vite
Plus vite que la limite

Je t'ai bien regardé
On ne peut s'y tromper
Tu gagnes un peu d'argent
Mais tu vas tout le temps

Plus vite
Tu vas toujours plus vite
Tu veux tout de suite
Plus vite
Toujours tu vas plus vite
Plus vite que la limite

Et quand tu dois freiner
Tu ne peux t'arrêter
Le temps c'est de l'argent
Alors évidemment

Plus vite
Tu cours toujours plus vite
Tu veux tout de suite
Plus vite
Tu vas encore plus vite
Plus vite que la limite

De te voir ralentir
Je n'ose l'espérer
Moi qui sais bien que c'est
Pour encore repartir

Plus vite
Tu vas toujours plus vite
Tu veux tout de suite
Plus vite
Toujours tu cours plus vite
Plus vite que la limite

Comment te retenir
Comment encore y croire
Si le tout c'est d'avoir
Des sous pour en finir

Plus vite
Tu vas toujours plus vite
Toujours tout de suite
Plus vite

Elle vivait éloignée
Dans ses rêves de Reine
Elle pouvait se passer
De discours et de scènes

Je décompte les jours
Les nouvelles prisons
Et rature à mon tour
Des kyrielles de chansons

La fille du château
Dans son décor d’argent
Déballe ses cadeaux
Et j’écoute le vent

Quand tant d’autres se baignent
Dans l’horreur et le sang
Ça me met mal à l’aise
Et j’y pense souvent

Là personne ne t’aide
Et au moindre faux pas
D’une corde trop raide
Tu retombes ici-bas

Où la fille du château
Dans son décor d’argent
Déballe ses cadeaux
Et j’écoute le vent

La fille du château
Dans son décor d’argent
Déballe ses cadeaux
Et j’écoute le vent

Moi j’écoute le vent